Oradour Village Martyr

Oradour-sur-Glane est le nom d’une petite ville du Limousin, à 22 kilomètres au nord-ouest de Limoges, où une unité de Waffen SS massacra, le 10 juin 1944, 642 hommes, femmes et enfants.

Au recensement de 1936, la commune d’Oradour-sur-Glane comptait 1574 habitants, dont 330 agglomérés dans le bourg qui regroupait les services publics, les commerces et les artisans.

Politiquement la commune vote à gauche ; le maire socialiste, est régulièrement réélu jusqu’à son remplacement en avril 1941 par une « délégation spéciale » présidée par un notable médecin, ancien maire et ancien combattant de la Première guerre.






 À partir de 1939, comme tout le département, Oradour-sur-Glane accueille des réfugiés : d’abord des Espagnols républicains chassés par le franquisme, puis des évacués d’Alsace, ensuite des expulsés francophones lors de l’annexion de la Moselle en août 1940, enfin des Juifs, français et étrangers, fuyant les persécutions racistes.
Espace de convivialité avant guerre (la frairie, les hôtels restaurants, les concours de pêche…), la commune devient un lieu de ravitaillement pour les citadins soumis aux pénuries de la période d’Occupation. Comme partout se développe un marché parallèle ; les habitants de Limoges viennent aux provisions grâce à la ligne de chemin de fer départementale.








 cimetière




la place où tous ensemble









 Elle massacre femmes et enfants dans l’église qu’elle tente de détruire avec des explosifs.







la rue principale

 a garage  


la ligne ferroviaire

Cabine téléphonique



La troupe Waffen SS arrive devant le bourg qu’elle encercle. Elle rassemble la population. Elle sépare les hommes, des femmes et des enfants. Elle exécute les hommes dans des locaux repérés. Elle tue au hasard des rues et des maisons pour qu’il n’y ait pas de témoin. Elle pille puis elle incendie. Elle massacre femmes et enfants dans l’église qu’elle tente de détruire avec des explosifs.

Puis elle procède systématiquement à l’élimination des cadavres par le feu et la fosse commune pour empêcher leur identification.
Elle accroît ainsi la terreur par l’impossibilité de reconnaître les morts, tout en laissant en évidence les traces du massacre.

Massacre de Oradour foi a 70 anos. Parece muito tempo,mas não. O tempo passa rápido. É a idade dos meus pais. A Vida passa a correr... .Depois de 70 anos,sinto o cheiro da queimada...o cheiro paira  no ar em cada esquina desta aldeia, destruida por humanos...sim humanos,por crianças com armas nas mão ...muitos destes assasinos não tinham mais que 18 anos outros muito menos. E a história se repete por esse mundo a fora. Esta aldeia ficou intacta para todos verem....verem o que os humanos são capaz de fazer a sua propria espèce ....mas já se esqueçaram, 70 anos depois outros povos sofrem o mesmo horror,por mãos muito delas jovens com menos de 18 anos. Resultado da perda de valores,do respeito pelo próximo, respeito pelo ser humano.

Que Deus no ajude. Pois tudo isto pode se repetir,mas por todo o mundo.


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